Catégorie : Artistes

Peintre
Cruzy le Chatel, j’y ai vécu toutes mes jeunes années. Pour moi il était donc essentiel de réserver mes peintures à ceux qui m’ont connu et les faire découvrir à ceux qui ne me connaissent pas encore.

Peintre
C’est l’histoire d’un retraité né à Cruzy le Chatel il y a 85 ans qui passe son temps en s’essayant à l’aquarelle. Un novice en somme.

Mosaïste
Passionnée par la couleur et le travail manuel, j’ai appris la technique du Zellige à Marrakech, du trencadis à Buenos Aires, la pose et la création à Paris.

Peintre
Arrivée à la retraite mon fils m’a offert. Un coffret de peinture j’ai pris 3 ans de cours. Et voici le résultat……

Peintre sur soie
En 2000, est venue s’installer une Parisienne dans notre village, qui a proposé de créer un atelier Peinture sur soie : création de tableaux, foulards, coussins…
Ce fut un vrai déclic ; j’ai été fascinée, et cette activité est devenue mon occupation favorite.

Mes créations sont inspirées par la nature et réalisées par le biais d’un procédé ancien photographique, monochrome, le cyanotype. Chacune de mes créations est une pièce unique avec une infinité de variations possible.

Remettre en question le regard. Entre dessin et peinture, des matériaux nobles à celui de la récupération, l’œuvre hybride relève toujours du vivant et de ses perspectives d’évolution.

D’aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours aimé les histoires de fantômes, les mystères et les choses étranges en général. Mon rêve serait de vivre une aventure mystérieuse, une vraie, et de pouvoir la raconter au coin d’un feu de camp. Je le réalise via l’encre, la gravure, la tablette graphique… Un peu tout quoi. Tant que j’ai une chance de vous intriguer et de vousfaire un peu rêver vous aussi, moi ça me a.

Entre abstrait et réalisme, l’artiste Auxerrois est envahi par une atmosphère irréelle. La nature est un sujet constructif de ses œuvres, les couleurs et la vie jaillissent sur ses toiles et parfois il y a une audace chromatiqu.

Diffusion toutes les heures de “La Belle” et “La jeune fille à l’écho”. Pour échapper à la censure soviétique, le cinéaste Arunas Zebriunas a préféré filmer le monde à travers le regard des enfants dans les années 1960.